VINCENT VOILLAT NEWS
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PAR-DESSUS L’ÉPAULE
Du samedi 18 mars au samedi 19 avril 2023
Vernissage le samedi 18 mars de 15h00 à 21h00
La Galerie Eric Mouchet a le plaisir de présenter la nouvelle exposition personnelle de Vincent Voillat dans son espace parisien intitulée « Par-dessus l'épaule. Ce second solo show est la continuité de sa réflexion portée sur nos rapports avec le monde minéral, poussant les hypothèses formelles jusqu’à une zone trouble où l’être lithique fusionne avec les formes du corps. Les sculptures deviennent suggestives, réduisant un peu plus la frontière qui sépare l’humain du non-vivant.
Cette exposition sera également l’occasion de dévoiler le premier ouvrage monographique consacré au travail de l’artiste, C’est peut-être un peu plus qu’une histoire (d’amour). Édité par la Galerie Éric Mouchet, avec le soutien à la publication du Centre national des arts plastiques, ce livre rassemble les textes et les œuvres produites par l’artiste à partir de 2013. Il réunit les correspondances d’une « communauté lithique » formée par l’artiste et composée d’auteur·ice·s, de philosophes, de théoricien·ne·s, de commissaires d’exposition et d’artistes : Jean-Christophe Arcos,
Emanuele Coccia, Aurélie Faure, Florian Gaité, Alice Guittard, Cécile Hartmann, Kubra Khademi, Klio Krajewska, Léo Marin, Éric Mouchet, Didier Nectoux, Sasha Pevak, Andy Rankin, Louis-Cyprien Rials, Rebecca Topakian.
Une rencontre avec l’artiste Vincent Voillat et une présentation de l’ouvrage est prévue le samedi 29 avril 2023 à partir de 15h00.
Galerie Eric Mouchet
45 rue Jacob 75006 Paris
www.ericmouchet.com
Contact presse :
Valérie Bazin
+33 (0)6 62 34 94 29
Vincent Voillat, Rudus limenis, Série Les décombres du seuil 2023. Courtesy de l’artiste & Galerie Eric Mouchet © Margot Montigny
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STUDIO 13/16 X VINCENT VOILLAT
© Atelier Müesli, 2023
Le Studio 13/16 est l'espace du Centre Pompidou destiné aux 13-16 ans.
Les 2, 3, 4 et 5 mars 2023 de 15h à 18h.
Entrée libre et gratuite.
Place Georges Pompidou 75004 Paris
01 44 78 49 36
studio1316@centrepompidou.fr
Pour le Studio 13/16, Vincent Voillat active une performance créée en 2018 dans le cadre de l'Institut d'Esthétique. Elle interroge notre rapport au monde minéral et aux pratiques de la lithothérapie. Les sculptures « La collection (Le soin) », assemblage de minéraux spécifiques, deviennent les outils d'une médiation méditative lors d'une séance d'apposition collective des pierres. Au Studio 13/16, cette première expérience se prolongera avec un ensemble d'œuvres performées autour de leurs récits, questionnant notre lien et attention au non-vivant.
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STONE ALIVE. A Cultural Interpretation of Stone
- An event of the France-Portugal Season 2022 -
Opening Reception: 4TH JULY, h18-20
Exhibition: 4th July – 4thAugust, Monday - Friday, h09-h18
Geology Museum, Lisbon, Portugal
(R. Academia das Ciências 19 2°, 1200-032 Lisboa)
Artists:
Claire de Santa Coloma, Fernanda Fragateiro, Gabriel Leger, Gilles Zark, Luca Pozzi, Marta Alvim, Martinho Mendes, Pedro Sequeira, Raphael Denis, Rita Gaspar Vieira, Rosell Meseguer, Sérgio Carronha, Vincent Voillat.
Curator: Marta Jecu
Inserted into the official calendar of the France-Portugal 2022 Season, STONE ALIVE has counted with the special support of CeiED, Interdisciplinary Research Centre for Education and Development Universidade Lusofona and LNEG Laboratório Nacional de Energia e Geologia
This project aims to open a field of thought in which stone is not questioned as a material of artistic work, but rather as a carrier of information – a capsule that transports a holistic consciousness and the multiplicity of inter-connected forms of being in time and space. This exhibition proposes the exercise to think about stone as a significant heritage of non-human knowledge and intelligence. How can this heritage be visualised, be analysed, imagined and how can we apply it to our immediate present? The artists work with stone as an object of meditation that advocates for expansion of moral and justice and for human awareness with a non-human and over-human scale.
SPECIAL EVENTS:
8th July, 6pm:
Conference Giovanbattista Tusa (Nova FCSH)
'Deep Life. Reimagining our Fossil Modernity'
16th and 17th of July, 3-5pm:
Guided visit of the exhibition with audio-description for persons with visual deficiency by Eliana Franco and Roberta Gonçalves (ULHT)
In the framework of the Course AUDIODESCRIPTION FOR MUSEUM AND EXHIBITION SPACES (9.06 – 17.07. 20220). Trainer: Eliane Franco
7th of July, 2pm:
Guided Tour of the Exhibition with the curator Marta Jecu
MEDIA PARTNER AND COVERAGE: UMBIGO Magazine
Design: Aga Zdziabek
WARM THANKS to LNEG and Museo Geologico for their sustained support and implication, to all participating artists and to thé galleries: Monitor, 3+1 Arte Contemporanea, Galeria Filomena Soares, Galerie Eric Mouchet Paris, Belo Galsterer, Galerie Sator Paris.
Grateful to the generous contributors of the integrated events, that consolidate this project: Roberta Gonçalves, Eliana Franco, Giovanbattista Tusa.
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Les pierres ont également, le droit au repos.
Nos liens lithiques, usages et sensibles.
Vendredi 8 avril de 10 h à 17 h
(matin en salle plénière à Mame ; après-midi dans l'école)
Journée d'étude, organisée par Vincent Voillat, avec Pauline Julier, Clément Postec, Marta Jecu, Cécile Hartmann et Clara Poirier
Toute la programmation à retrouver sur esad-talm.fr
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19 mars - 30 avril
Avec Julia Gault, Esther Michaud, Marie-Luce Nadal et Vincent Voillat
Cette exposition ouvre le deuxième volet du cycle La Construction du Champ. Après Le Chantier, ce volet traite la question de La Matière du Monde et de sa transformation. Dans cette exposition collective, les œuvres réactivent la matière, nous offrant des regards renouvelés sur le monde. La mise en relation de l’ensemble de ces approches plastiques puisant leurs matières dans le vivant fonctionnera comme un répertoire terrestre à l’intérêt inépuisable. Cette réactualisation de la matière opérée par les artistes nous permet de retrouver la plasticité nécessaire à tous rapports avec la vie, à cet échange et lien avec le monde que nous constituons et qui nous constitue, que nous habitons et qui nous habite.
Vernissage le samedi 19 mars 2022 à 18h
Exposition visible du dimanche 20 mars au samedi 30 avril 2022
Entrée libre du mardi au vendredi de 13h30 à 18h et le mercredi de 10h à12h et de 13h30 à 18h
Visuel : Marie-Luce Nadal, Cloud studies 06.01.20/16H12, encre noir photosensible sur aluminium, 64×90 cm.
Droit photographique Marie-Luce Nadal
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MERCREDI 24 NOVEMBRE À 19H
Artaïs art contemporain présente
Entretien Zoom de Vincent Voillat avec Joris Thomas
Né en 1977 à Nantua (France), Vincent Voillat est un artiste contemporain pluridisciplinaire qui vit et travaille à Ivry sur Seine. Il est représenté par la Galerie Éric Mouchet. Il enseigne comme professeur de sculpture à l’École Supérieure d’Art de de Design TALM, site de Tours, depuis 7 ans et collabore depuis 2005 avec le Collectif Mu.
Vincent Voillat explore les liens qui s’opèrent entre un territoire (réel ou virtuel), les flux qui le traversent, ses habitants et leurs mémoires. Il étudie plus particulièrement le rapport entre le paysage et sa perception.
Sa démarche se fonde sur le prélèvement : extractions géologiques de roches, études des strates, fouilles archéologiques ou études de végétaux... Il emprunte aussi les matériaux de ses œuvres à la culture populaire : musiques, objets trouvés, récits… Il décèle dans le paysage choisi pour ses interventions la trace des corps et en révèle l'empreinte, la persistance et leurs impressions sur la mémoire du lieu.
La rencontre sera menée par Joris Thomas, historien de l’art et commissaire d’exposition.
Joris Thomas travaille avec le Design Museum Brussels en tant que chargé de la conservation et de l’exposition d’une collection de design durant 3 années et est l’un des cofondateurs du collectif de commissariat bruxellois In-box, avec qui il organise une dizaine d’expositions valorisant la scène émergente à Bruxelles.
Il conçoit à présent des expositions dans différents lieux en France et à l’étranger. Membre du c-e-a en 2021, il s'investit parallèlement dans l’enseignement notamment à l’École du Louvre dont il est chargé de travaux dirigés sur l’art et le design du XXe siècle et contemporain.
Il collabore avec la villa Noailles, dans des domaines touchant à l’édition et aux relations publiques avec les institutionnels.
Vincent Voillat a fait partie de nos programmes vidéo d’artistes confinés ( https://youtu.be/DFPm8mRKiPY ) .
Crédit photo: Heinz Norbert Jocks
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Avalanche
Samedi 12 juin de 14 à 22:00 à
pal project, au 39 rue de Grenelle, 75007 Paris.
commissariat Nelson Pernisco & Andy Rankin
" Et si finalement, on arrêtait tout cycle d’engendrement et de destruction pour un temps donné ? Le temps de l’exposition, le temps de la vie de tous ceux qui ont vécu le projet, le temps
de conservation des sachets individuels, sont autant de marqueurs temporels qui permettent
de nous laisser croire que la matière est figée. Mais il n’en est rien du tout ! Finalement, on se propose d’accélérer le processus du temps et d’exposer toutes les œuvres sous leur forme
la plus élémentaire : la poudre. Si on avait fait le choix d’exposer les pièces sans le processus
de pulvérisation, on aurait pu revenir dans la galerie au bout de 1000, 1500 ou 5000 ans, certaines pièces auraient complètement disparu, tandis que d’autres seraient à peine usées. Alors ce qu’on propose aux visiteurs c’est d’observer la finitude de toute chose. L’usure, l’érosion ou l’entropie ont des effets différents en fonction des matériaux ou de leur conservation,
mais pour “ Avalanche ” toutes les pièces sont au même niveau, il n’y a pas de piège de mémoire ou de conservation. Surtout, les acheteurs peuvent acheter l’action du temps, ce qui est quelque chose d’assez fort finalement ... "
Extrait du pal mag. #3, catalogue de l’exposition
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TOPOGRAMME
11 février – 13 mars 2021
Double Séjour, project space
POUSH, 15ème étage
Pour le deuxième temps fort de sa programmation, Double Séjour invite deux commissaires, Aurélie Faure et Léo Marin à s’installer au sein de son project space à POUSH pour une résidence curatoriale prospective et réflexive jusqu’au 13 mars. Aurélie Faure et Léo Marin décident de transformer l’espace d’exposition Double Séjour en laboratoire de recherche. À partir d’un emploi du temps rythmé, iels proposent une programmation basée sur la création de rencontres et l’expérimentation. Sans contrainte et sans obligation de résultat, cette résidence va leur permettre de développer leurs axes de travailet de structurer leur pensée via l’élaboration de cartes mentales.
L’emploi du temps établi par le duo prévoit un bureau de permanences dédiées aux artistes, des rencontres autour de la table, des entretiens radios, des expérimentations sonores, des instants bien-être, une programmation vidéo, et la création de nouvelles collaborations.
Cette programmation spontanée est une introduction aux problématiques et axes de recherches explorés par les deux commissaires d’exposition. Leurs invité.e.s et leurs propositions sont les projets pensés et fantasmés depuis ces deux dernières années. Aurélie Faure interroge la notion de « Posture » face au fait de devoir définir sa pratique. Elle écrit de nombreux projets artistiques en collaboration avec des artistes et des musiciens. Sa démarche tend à la création et à la production d’objets, sonores et visuels. Léo Marin travaille sur la figure du Fou (le Mat). Cette carte représente à la fois le départ et l’arrivée d’un voyage initiatique de découverte de soi, avec une meilleure compréhension de nous-même, des autres et du Monde. Le Fou est donc un aventurier, un pionnier, qui part dans une nouvelle aventure avec enthousiasme et l’espoir que sa quête sera fructueuse. Il pourra a partir de cette nouvelle recherche poursuivre celles déjà entamées autour de la cartographie -Mapping At Last- et celle de l’île -The Possible Island-.
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Cycle de conférences Sciences & Fictions -Ecologie des arts et des médias, Université Paris 8
https://p-node.org/broadcasts/sciences-and-fictions.
Depuis 2018, Manuela de Barros invite des artistes, des théoricien.ne.s et divers.e.s acteur.e.s de l’art à venir parler de leur expérience, de leur œuvre et des projets en cours dans le cadre d’un cycle de six conférences annuelles. Destinées en premier lieu aux étudiant.e.s du Master Ecologie des arts et des médias du laboratoire TEAMeD de l’Université Paris 8, département arts plastiques, elles sont publiques, gratuites et ouvertes à tou.te.s.
Ce séminaire explore des liens qu’entretiennent les sciences en tant que créatrices de formes et de mondes avec les projections imaginaires qu’elles suscitent. Comment s’effectue le passage de la science à la fiction, de la recherche à la projection imaginaire ? A travers cette question sont abordées les caractéristiques des rapports rapports sciences, technologies, arts, création littéraire et sociétés, tout en envisageant des médias comme dispositifs techniques sociaux et symboliques.
Les invité.e.s des années précédentes étaient David Guez, Hortense Gaultier, Ewen Chardronnet, Magali Daniaux et Cédric Pigot, Dominique Gonin-Peysson, Annick Bureaud, Lia Giraud, Joachim Montessuis, Raphaële Bidault-Waddington, Valentina Peri, Cécile beau, Gaël Segalen.
D’octobre 2020 à mars 2021, les intervenant.e.s seront Klio Krajewska, Vincent Voillat, Elise Morin, Cristina Hoffmann, Nicolas Maigret et Maria Roszkowska et Aniara Rodado.
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“Il n’y a plus de saisons”
MAINS D'ŒUVRES
1, rue Charles Garnier, 93400 Saint-Ouen
Exposition ouverte du 25 septembre au 25 octobre 2020
Mercredi à vendredi 14h - 20h
Samedi - dimanche 12h - 20h
Barthélemy Antoine-Loeff, Kat Austen, Léo Baqué, Ewen Chardronnet, Magali Daniaux + Cédric Pigot, Matterlurgy (Helena Hunter + Mark Peter Wright), Elise Morin, Antoine Schmitt, Robertina Šebjani?, Vincent Voillat
commissariat : Klio Krajewska
“L’humanité et la biosphère ont partie liée. L’une n’a aucun avenir sans l’autre. Serons-nous capables de redécouvrir notre appartenance à la même espèce et notre insécable lien avec l’ensemble du vivant ?”
Achille Mbembe, philosophe et historien, l’article “Le droit universel à la respiration” (avril 2020)
“Les ennemis [de l'écologie] aujourd'hui sont des vieux cons”
Vinciane Despret, philosophe et psychologue, France Inter (octobre 2019)
L’exposition esquisse la diversité du paysage environnemental actuel en explorant des phénomènes à la fois majeurs et marginaux, leur qualification dépendant souvent du point de vue et du contexte. Réinterprétés par les artistes, les différents aspects de la réflexion sur l’écologie forment un tout - un tout recomposé, en mouvement, permettant à chacun de se constituer son propre référentiel sur ces questions que l’on sait urgentes mais jamais assez immédiates ; à la fois systémiques et individuelles ; contemporaines mais ancrées.
INFOS PRATIQUES :
Accès à pied depuis les métros Garibaldi ligne 13 (10 min) et Porte de Clignancourt ligne 4 (15 min)
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La boîte de Pandore
Un cabinet de curiosités contemporain
15 février – 31 mai 2020 (prolongation jusqu'au 31 décembre)
Musée Réattu
10, rue du Grand Prieuré
13200 Arles - France
Inspiré par une série de photographies réalisée par Corinne Mercadier en 2019 dans une réserve de la commanderie Sainte-Luce, le nouvel accrochage des collections du musée Réattu érige la figure de Pandore en allégorie d’une mission fondamentale pour l’institution labellisée « Musée de France » : le récolement. Peu connu du grand public, le récolement est pourtant un exercice passionnant, qui consiste à vérifier la présence et l’appartenance légale de tout objet constituant une collection muséale. S’il est l’occasion de s’immerger en profondeur dans le corps des collections, il ouvre aussi, souvent, sur un abîme vertigineux d’inconnu et de recherche. Lorsqu’un fonds atteint, comme celui du Réattu, plusieurs milliers d’objets, le conservateur ne sait en effet pas toujours ce qui l’attend lorsqu’il pousse la porte d’une réserve, qu’il rouvre un grenier, une boîte ou une armoire ancienne mise de côté depuis des années... Et il ne sait pas toujours vers quelles histoires les objets vont le mener. Parfois, ce sont les artistes invités par le musée qui ont joué les éclaireurs. Explorant les lieux les plus improbables, ils ont incité les conservateurs à s’interroger et à se renseigner sur des patrimoines moins connus ou d’un intérêt a priori secondaire pour la recherche. Ils ont aussi fixé sur pellicule des objets aujourd’hui disparus, doublant l’intérêt artistique de leurs œuvres d’une valeur mémorielle inestimable. Cet accrochage nous invite donc à suivre Pandore, à ouvrir, salle après salle, un chapitre peu connu de l’histoire d’Arles et du musée. Puisant son inspiration dans l’esthétique et l’esprit des cabinets de « curiosités », la présentation met en regard des objets insolites dont le musée s’est retrouvé dépositaire – animaux naturalisés, moulages de plâtre anciens, objets liturgiques etc. – avec des œuvres contemporaines issues des collections ou empruntées pour l’occasion, mais encourageant toutes à s’interroger sur le devenir de ces patrimoines.
les jolis cailloux du cabinet minéralogique de "La boîte de Pandore"
Connaissez vous Félix Serret ? Probablement pas, mais cet arlésien fut pourtant un personnage singulier, une sorte d'Indiana Johns provençal du XIXe siècle ! Ingénieur talentueux - il a creusé des tunnels, construit des routes et des ponts en Égypte, au Mexique et dans toute l'Amérique du Sud - écrivain, journaliste, il a aussi développé une grande passion pour la géologie et la minéralogie. Il offrira sa collection au museum d'histoire naturelle d'Arles dans les années 1920.
En écho à ces cailloux qui nous transmettent la mémoire de ce personnage, nous avons choisi de présenter d'autres cailloux, plus contemporains : ceux de l'artiste Vincent Voillat : entre échantillons minéralogiques et sculptures, vraies pierres et fossiles fictionnels, ses œuvres révèlent un univers à la fois humoristique et dystopique en utilisant les pouvoirs symboliques, énergétiques et mémoriels des pierres.
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Un art écologique ?
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Body Language
Du 2 juillet au 29 août 2020
Galerie Eric Mouchet
45 Rue Jacob, 75006 Paris
La galerie Eric Mouchet a le plaisir de présenter l’exposition Body Language du 2 juillet au 29 août 2020, réunissant les œuvres de Christine Crozat, Pierre Gaignard, Hudinilson Jr., Kubra Khademi, Robert Mapplethorpe, ORLAN, Gwendoline Perrigueux, Isabelle Plat, Louis-Cyprien Rials, Miguel Ángel Rojas, Vincent Voillat…
Body Language propose d’analyser les liens qui unissent les représentations du corps réalisées par de jeunes artistes que la galerie représente, à quelques œuvres qui en constituent le fonds historique ; ou comment des artistes, tous engagés dans les combats sociétaux de leur époque, ont mis en scène au cours des cinquante dernières années, des corps ou des fragments de corps nus, solitaires, immobiles et beaux – souvent les leurs – et ont joué le jeu ambigu du voyeurisme pour transmettre un message militant
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Soirée sonore #7 / Art et Thérapie
21 Novembre 2019 Centre Pompidou
Performances participatives par l’Institut d’Esthétique
Dans un contexte sociétal où les relations inter-humaines sont vécues par l’entremise de leurs représentations, l’art peut-il créer des rapports directs au monde ?L’Institut d’Esthétique a pour but de s’occuper de l’autre, de renouer la relation, de se retrouver, de se réconcilier avec son image pour procurer plaisir, satisfaction et bien-être. A l’Institut, le corps devient un incroyable outil de communication et de socialisation et offrira pour la soirée sonore une carte de 3 soins possibles :
- Lithothérapie de Vincent Voillat
Séance de lithothérapie pour rééquilibrer corps et esprit à partir d’assemblages minéraux réalisés par l’artiste. Pied d’escalier, niveau 4
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CONTAINED ENERGY - le cercle de la pierre, vol. 1
une proposition de Jean-Christophe Arcos pour la Villa Belleville - Résidences Paris Belleville
Martine Aballéa Andrés Baron Coraline de Chiara Anne-Valérie Gasc Isabelle Giovacchini Alice Guittard Guillaume Linard Osorio Ronan Masson (Zed Set) Hélène Paris Gilles Pourtier Olivier Sévère Vincent Voillat Leonie Young
une proposition de Jean-Christophe Arcos
pour la Villa Belleville - Résidences Paris Belleville
exposition du 6 au 10 novembre 2019
vernissage le mercredi 6 novembre à partir de 18h
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Discussion autour du livre
L’Utopie fantôme de Leonie Young
le jeudi 7 novembre à 19h
Discussion autour du livre
La grande surface de réparation de Gilles Pourtier
le samedi 9 novembre à 17h
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«D’un côté, la volonté humaine érige l’édifice selon un principe de verticalité ; de l’autre, le travail de la nature tend à son érosion et à son aplanissement.»
Georg Simmel
Destruction et (re)construction sont des outils privilégiés pour tout pouvoir décidé à mettre en œuvre sa domination.
La statuaire et l’architecture ne sont aucunement des excroissances esthétiques ou des parties émergées : elles contribuent, par le paysage, à édifier les populations et les règnes et à écrire, ou effacer, leurs récits. Sur les ruines des idéologies utopistes des avant-gardes artistiques, et avec les matériaux forgés par celles-ci, un mouvement politique global dessine aujourd’hui une histoire qui n’a jamais existé, et qui serait en train de s’achever avec pertes, fracas et poussière de béton, voire de plastique.
La mise en scène de ces récits passe par des détournements du paysage architectural ainsi que par une mainmise sur les discours qui les sous-tendent : la réécriture de l’histoire à la faveur de la rénovation urbaine (et inversement) consolide une version officielle de notre contemporanéité oublieuse.
La figure de la ruine, minérale ou organique, n’appartient ni au présent ni au passé, ni au sol ni au sous-sol, ni à la réalité ni à la fiction, ni à l’objet ni au langage : elle réfléchit les (in)déterminations de l’architecture comme les obscurités chtoniennes.
L’histoire serait dès lors une fabrique d’incompréhension autant que de paysage.
Peut-être le culte de l’histoire, prédit par Aloïs Riegl, empêche-t-il à l’écriture de l’histoire future comme au commentaire de l’histoire passée d’advenir. Le miroir dans lequel se fige le présent perpétuel de la postmodernité ressemble en bien des points à l’Egide, ce bouclier magique offert à Persée par Athéna pour combattre la gorgone Méduse sans être pétrifié. Et c’est nous qui semblons l’être aujourd’hui, comme des statues sans paysage.
En créant un Cercle de la pierre, dont la présente exposition constitue le premier volet, nous voulons initier une résilience, si ce n’est une résistance, à l’égard des prophéties de l’époque et de son désir de mettre un terme définitif à l’histoire.
Les artistes réuni•e•s ici creusent le sol, à la recherche des minéraux éternels, puisque rien ne dure, vraiment. Le métamorphisme, du marbre comme du plastique, inspire la transformation, libère les énergies contenues. Sorti•e•s de la caverne, les liens ne les asservissent plus, ils les rassemblent ; leurs yeux ne sont plus fixés : ils invitent au regard, c’est-à-dire à l’action.
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Remerciements
Galerie Alain Gutharc
Un-Spaced
Galerie Eric Mouchet
LE GRAND BELLEVILLE
Centre d'art contemporain Les Tanneries
Idem+arts pour L'Utopie fantôme de Leonie Young
3 bis f - lieu d'arts contemporains & Mécènes du sud pour La Grande surface de réparation de Gilles Pourtier
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L'hiver n'aura pas lieu cette année
7 septembre - 5 octobre
Première exposition personnelle à la galerie Eric Mouchet.
45 rue Jacob, 75006 Paris.
Vidéo
ALURING
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AU CENTRE LES PIERRES
Médiathèque d’Aouste-sur-Sye
20 août – 4 novembre 2019
Une exposition de l’artiste plasticien Vincent Voillat
Dans le cadre du festival Mondes parallèles
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Déjà-vu
ChezKit invite Double séjour
VERNISSAGE / vendredi 05 avril 2019 18h-22h
EXPOSITION / samedi 06 et dimanche 07 avril 2019 15h-19h
AVEC / Born And Die, Angélique de Chabot, Léo Dorfner, Fleury Fontaine, Pierre Guilhem, Marie Jacotey, Ronan Le Creurer, Célia Nkala, Nicolas Nicolini, Gwendoline Perrigueux, Dorothée Louise, Recker, Ludovic Sauvage, Aldéric Trével, Lucille Uhlrich, Marcos Uriondo, Vincent Voillat, Cyril Zarcone
COMMISSARIAT / Thomas Havet
CONCEPTION GRAPHIQUE / Atelier Eddy Terki
17, rue du chemin de fer 93500 Pantin
M7 Aubervilliers - Pantin - Quatre Chemins
Tram 3b Ella Fitzgerald - Grands Moulins de Pantin
RER E Pantin
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WENIGER IST MEHR - LESS IS MORE
Carte Blanche à Maya Sachweh
EXPOSITION // 18 au samedi 22 décembre 2018
VERNISSAGE // mardi 18 décembre de 18h à 21h
Ce concept minimaliste a été formulé par le grand architecte d’origine allemande Mies van der Rohe qui, au début du XXe siècle, était un des protagonistes du courant avant-gardiste européen et américain fondateur d’une nouvelle esthétique avec des constructions épurées bannissant toutes ornementations inutiles. La formule s’applique également aux œuvres d’art qui vont à l’essentiel ou se contentent du « peu », comme le petit tableau d’Edouard Manet « l’Asperge » qui me sert de leitmotiv pour l’exposition.
Maya Sachweh
Un grand merci à :
Estèla Alliaud, Azul Andrea, Marcos Avila Forero, Andrés Baron, Boris Chouvellon, Elisabeth S. Clark, Julien Creuzet, Gaetano Cunsolo, Jacqueline Dauriac, Raphaël Denis, Julien Discrit, Guillaume Duffner, Léa Dumayet, Hakima El Djoudi, Mara Fortunatovic, Julia Gault, Thomas Hauser, Elizaveta Konovaleva, Eloïse Le Gallo, Charles Le Hyaric, Gabriela Lupu, Laurent Mareschal, Angelika Markul, François Maurin, Enzo Mianes, Keita Mori, Romina De Novellis, Aurélie Pétrel, Morgane Porcheron, Revillon d’Apreval Design, Evariste Richer, Pia Rondé et Fabien Saleil, Lionel Sabatté Caisa Sandgren, Vittorio Santoro, Lise Stoufflet, Anna Ternon, Pauline Toyer, Anna Tomaszewski, Sergio Verastegui, Romain Vicari, Natalia Villanueva, Vincent Voillat, Mâkhi Xenakis, Xie Lei...
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LA GALERIE DU CROUS DE PARIS
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11 rue des Beaux-arts 75006 Paris
01 40 51 57 88 / galerie@crous-paris.fr
du lundi au samedi de 11h à 19h
Odéon / St Germain des Prés / Mabillon
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SCALAR WAVES
Galerie Eric Mouchet
Carte blanche à Aurélie Faure
21 novembre 2018 •
Dans le cadre de « Camera Camera », la Galerie donne carte blanche à Aurélie Faure aka Katarina Stella pour occuper la chambre n°8 de l’Hotel Windsor. Cet espace domestique l’a amené à imaginer une scénographie immersive avec Romain Poirier, sombre et post-apocalyptique à partir des œuvres de Pierre Gaignard, Gwendoline Perrigueux, Capucine Vever, Vincent Voillat, et Louis Cyprien Rials.
Coupée du monde extérieur, cette chambre devient un laboratoire survivaliste composé d’écrans et d’ondes qui serait peut-être le dernier bastion de la résistance : la catastrophe advenue, les oeuvres s'en font ici les éléments annonciateurs mais aussi les reliques. Seul-e dans cette chambre, un-e survivant-e semble s’être transformé-e en pirate et tente de trouver d’autre-s rescapé-e-s sans se faire repérer. Si les portes se referment derrière vous, ne paniquez pas : vous serez en sécurité.
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As part of "Camera Camera", the Galerie gives a "carte blanche" to Aurélie Faure aka Katarina Stella to curate the room n°8 of the Hotel Windsor. This domestic space led her to imagine an immersive scenography with Romain Poirier, dark and post-apocalyptic from the works of Pierre Gaignard, Gwendoline Perrigueux, Capucine Vever, Vincent Voillat, and Louis-Cyprien Rials.
Cut off from the outside world, this room becomes a survivalist laboratory composed of screens and waves which would be perhaps the last bastion of the resistance: the disaster happened, the works are here the announcing elements but also the relics. Alone in this room, a survivor seems to have turned into a pirate and tried to find other survivors without being spotted. If the doors close behind you, do not panic: you will be safe.
Vernissage sur invitation
Vendredi 23.11 à 19h30
Samedi 24.11
Ouvert de 14h à 19h
Dimanche 25.11
Ouvert de 14h à 18h
site OVNI festival
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SURFACES
Sur l’invitation de l'artiste Marie Sommer
du 7 novembre au 1 décembre 2018
Inauguration le 6 novembre à 18h, au sein du parcours Photo Saint Germain.
Site du Musée
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TO MICHAEL
Exposition curate?e par Sasha Pevak
Artistes exposé.e.s : Babi Badalov, Eve Beaurepaire, Jimmy Beauquesne, Claire Chassot, Steven Cohen, Mathilde Dadaux, Kevin Desbouis, Jean-Baptiste Ganne, Vladislav Mamyshev-Monroe, Karol Radziszewski, Marijke De Roover, Constance Sorel, Diana Tamane, Vincent Voillat, Hanna Zubkova
Exposition dans le cadre du projet archipe?lique AMOUR
Du 12 au 16 septembre
to Michael est un hommage sentimental à Michael, un homme qui vit supposément en Russie. En partant d'une histoire ordinaire d'une relation amoureuse, il se transforme, au fils des échanges avec les artistes, en un récit universel autour de l'amour, de l'attention à l'autre et du dévouement. Nostalgique des années 90, to Michael s'adresse à l'époque où tout semblait être possible, en nous informant en même temps de la condition des personnes LGBTQ+ dans des pays post-soviétiques aujourd'hui. Derrière ce discours amoureux, émerge alors une allusion à des liens perdus entre l'Est et l'Ouest. Le projet qui se déploie simultanément à Paris et à Moscou, en plus des volets artistiques et discursifs, intervient directement dans la réalité russe.
Le projet archipe?lique AMOUR constitue la re?ponse a? l’invitation, faite par le festival Jerk Off au curateur Sasha Pevak, qui a a? son tour invité deux autres curateur.rice.s a? collaborer sur le projet. Conc?u dans l’esprit d’amitie?, cette proposition s’articule autour des notions de l’amour, de l’hospitalite? et de l’empathie. Se de?ployant sur plusieurs lieux, elle finit par faire transparai?tre les portraits de chaque curateur.rice participant.e.
12.09 - 19h00 : vernissage
13.09 - 19h30 : soire?e de projections
15.09 - 14h00 : There Are No Homosexuals in...
journe?e de rencontres, de?bats et pre?vention
22.09 - 20h00 : clo?ture du festival, soire?e de performances to Michael (@Point Ephémère)
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STATION BALNÉAIRE / On donne une écaille…
Une proposition de L’institut d’Esthétique.
L’institut d’Esthétique est un projet artistique fondé par Emile Degorce Dumas, Haily Grenet et Vincent Voillat, où ils posent des questions d’Esthétique dans un institut d’esthétique. Chaque invitation donne lieu à des nouvelles collaborations avec des artistes d’horizons variés, afin de souligner le rapport performatif possible entre des œuvres d’art et le public dans un environnement lié au monde de la beauté.
? ON DONNE UNE ÉCAILLE, IL TE PRENNE UNE NAGEOIRE ! 22:30-23:00 — Performance d’Elsa Lefebvre
? MUSIQUES BALNÉAIRES
23:00-06:00 — Projections et exposition
avec des pièces de Vincent Voillat et d'Emile Degorce Dumas
- Pauline Payen
- Brice Chatenoud
- Aurélien Cornut-Gentille
- Pierre Pauze
? THALASSO ET GLISSEMENT TROPICAL
00:00-02:00 — Dj set de Clément Douala
Site de La Station - Gare des mines
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Marée Basse
Samedi 8 Septembre – 15:00 – Plage de Trouville, 14360 Trouville
20 artistes investissent la plage de Trouville à l’occasion d’un phénomène exceptionnel : la première grande marée de la rentrée!
Avec : Elsa Lefebvre Alexandre Bavard Marie-luce Nadal Laurent Derobert Hanieh Delecroix Tabatabaei Pierre Gaignard Michael Camellini Ronan Le Creurer Frédéric Dialynas Sanchez Antoine Nessi Jonathan Loppin Kirill Ukolov Emma Daumas Fleur Offwood Denis Savoie Alexandre Benjamin Navet Emile Degorce-Dumas Vincent Voillat Haily Grenet
Avec la complicité de Bernard Chenebault Thomas Andrea Barbey et Jean-Yves Langlais
Qu’est-ce donc ?
Le prétexte à une villégiature tardive : Marée Basse réquisitionne la plage de Trouville, le temps d’une après-midi que l’on espère ensoleillée. Et y installe une belle palanquée d’artistes, souvent jeunes et talentueux. Le projet de Kirill Ukolov, dont la direction artistique est assurée par Sylvia Varagne, sera un festival d’art à même le sable, qui mêlera installations, performances, conférences et concerts dans des cabines de plage. Une initiative louable, à la genèse troublée, l’opposition socialiste ayant regretté un manque de rigueur chez certains intervenants. Morceau choisi du débat municipal :
« Vous avez dit qu’une bouteille serait jetée à la mer par l’un des artistes, à 18 h, au plus bas de la marée. Mais, le samedi 8 septembre, c’est à 17 h 38 que la marée sera la plus basse et non à 18 h. »
Fluctuat nec mergitur.
Une bonne raison d’y aller ?
Pour le côté Palais-de-Tokyo-sur-mer du festival, qui déménage une bonne partie des jeunes artistes vus en ces murs l’an passé (Alexandre Bavard, Emile Degorce-Dumas, Vincent Voillat, Elsa Lefèvre…). Pour l’audacieuse délocalisation Bagnolet-Trouville du ballet chamanique de Pierre Gaignard, résident du Wonder/Liebert. Enfin, pour l’intrépide programmation d’Emma Daumas, concert à la hauteur des nostalgies les moins avouables.
Une navette est prévue pour que vous puissiez passer la journée à Trouville le 8 septembre (dans la limite des places disponibles) et découvrir ainsi le Festival Marée basse.
Départ 11h30 Porte Maillot
Retour Minuit Porte Maillot
Prix du billet 10 euros (vous devez avoir un message de confirmation pour accéder à la navette et vous pouvez bien sûr être accompagné).
RSVP : julia.dartois@hec.edu
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Des roches courbes et une fêlure.
L’exposition s’appuie sur un ensemble de récits, géologiques, écologiques, historiques, mythologiques, humains et personnels dont l’épicentre est le territoire si singulier de la Forêt de Saou. Lors de ses pérégrinations, l’artiste a collecté un ensemble de matériaux qu’il assemble dans des installations, des photographies, de la sculpture et de la vidéo, délivrant une interprétation sensible et poétique de son environnement.
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Métamines #2 — Embrasser - dans l'oeil du drone
du 1 juin à 19:00 au 2 juin à 21:00
à la station gares des mines
Exposition collective (accès libre)
EMBRASSER – DANS L’ŒIL DU DRONE
une proposition de Sarah Ihler-Meyer et Clément Postec (commissaires)
• Vernissage le 1er juin à 19:00
Avec PeriZener, performance de Vincent Voillat et de Kerwin Rolland à 20:45
Dj sets de DJ Sundae et Jacques Bon dès 19:00
• Et jusqu'au 2 juin 2018 de 14:00 à 21:00
• Dans le cadre de Métamines 2 — rencontres • expo • concerts • performances
Technologie militaire de surveillance et de frappe à distance, commercialisé pour des usages civils et ludiques, utilisé depuis plusieurs années dans le champ du cinéma et des arts visuels, le drone est un dispositif de vision déplaçant nos cadres perceptifs, éthiques et cognitifs. Tel un regard omniscient et omnipotent, vecteur d’une potentielle violence, son régime optique se caractérise par des points de vue surélevés ou aériens, une caméra mobile, oscillant entre moments de latence et d'accélération, reliant petites et grandes échelles dans un mouvement continu, mais également par des métadonnées parfois visibles à l’écran. Autant de coordonnées spatio-temporelles induisant des conduites et des schémas d’action spécifiques, décentrant et ouvrant l’œil humain à de nouvelles perspectives dans son appréhension du monde et du territoire dont les artistes ici réunis explorent les enjeux esthétiques, fictionnels et politiques.
Une proposition de Clément Postec et Sarah Ihler-Meyer,
avec des œuvres de Capucine Vever, Vincent Ceraudo, Nicolas Boone, Fabien Giraud et Raphaël Siboni, Omer Fast …
Pour des raisons techniques indépendantes de notre volonté l'installation Le Faux Bourdon de Martin Le Chevallier ne pourra pas être présentée.
http://lastation.paris/metamines/embrasser-dans-loeil-du-drone/
Performance
PERIZENER
Dans le cadre du vernissage de l’exposition Embrasser – Dans l’œil du drone, jeudi 1er juin à 20:45
Une proposition de Vincent Voillat et Kerwin Rolland
PeriZener est une performance cinématographique et chorégraphique, en interaction avec un territoire et une composition musicale géolocalisée utilisant SoundWays, dispositif de création d’environnements sonores géolocalisés. L’ensemble est filmé en direct par un drone et la performance sera restituée en temps réel sur un écran dans un dispositif proche de celui du cinéma et du spectacle vivant. La diffusion de la vidéo sera accompagnée par un live de Kerwin Rolland à la manière d’un ciné-concert.
Un drone parcourt le territoire de la Gare des Mines en un plan séquence ponctué par un ensemble de sculptures de Vincent Voillat comme autant de présences énigmatiques et singulières. Elles sont le prétexte au déplacement et permettent de révéler ce territoire incertain par les détails qui le compose. Ces tableaux successifs, contemplatifs et hallucinés, laissent apparaître les traces de phénomènes étranges passés ou en devenir, faisant écho à l’histoire de ces lieux.
PeriZener est un néologisme constitué de « Péri » (autour de, à l’entour de…), faisant écho au mot périphérique et de péripate qui viendrait du grec « peripatein » (se promener). Les cartes de Zener sont un jeu de 25 cartes inventées en 1920 et utilisées dans les premières recherches effectuées dans le domaine de la parapsychologie. Les cartes de Zener visent à déterminer la clairvoyance d’un sujet : lorsque l’expérimentateur tire une carte, il cherche à transmettre par la pensée au sujet testé l’information concernant le symbole qui y figure.
Présenté avec les soutien du Ministère de la Culture et de la Communication (DICRéAM) et d'Altamétris, dans le cadre de Métamines #2. Une coproduction Collectif MU - SNCF Immobilier.
Manifesto
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Friday 25 May 16-21 (Grand Opening Party 21-03)
A gathering of contemporary performance art in Copenhagen
Fabrikken of Art and Design, Sundholmsvej 46, 2300 Copenhagen (DK)
The Institut d'Esthétique (Beauty Parlor) is an artistic project founded by Emile Degorce-Dumas, Haily Grenet and Vincent Voillat, to question notions of estheticism within the environment of a beauty salon. The institute collaborates with artists from various backgrounds to examine the possibility of creating direct connections between the public and artworks.
For Alt_Cph 18, Anaïs Lepage, curator heiwata Paris, invites The Institut d'Esthétique to explore the notion of "Spiritual Materialism". Translated to a hyper-connected world eager for perfection and visibility as much as authenticity, "Spiritual Materialism" echoes the meeting of Eastern spiritualities and healing practices with Western researches for self improvement and happiness.
Artists Emile Degorce-Dumas, Christine Overvad Hansen, Sharon Van Overmeiren, Vincent Voillat, and Yarisal & Kublitz conceive a therapeutic, meditative and spiritual installation dealing with opposite desires. This performative environment is transformed over the days by ritual gestures and interactions with the public.
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Commissariat général Vittoria Matarrese
Du 6/04/2018 au 8/04/2018
Vendredi 6 avril
18h – minuit
Samedi 7 avril
14h – minuit
23h – 5h : Nuit DO DISTURB au YOYO
Dimanche 8 avril
Midi – 18h
Performance, danse, musique, théâtre...Pour la 4ème année consécutive, le festival DO DISTURB met en ébullition le Palais de Tokyo.
L'Institut d'Esthétique, imaginé par Haily Grenet, Emile Degorce Dumas et Vincent Voillat, crée plus d’une quinzaine de cabines de « soins » proposant des expériences aussi relaxantes que troublantes.
Avec : Julie Béna / Lorette Cole Duprat / Emile Degorce Dumas / Caroline Delieutraz / Wim Delvoye / Virginie Dinier / Mathilde Fernandez & Cecile Di Giovanni / Matthias Garcia / Goiffon & Beauté / Julie Le Guern / Claude Lévêque / Elsa Philippe / Maxime Rossi & Guests / Agathe Soumireu-lartigue / Vincent Voillat / Yarisal & Kublitz / Francois X & Laura O’rorke / Le Wonder (Guillaume Gouerou, Nelson Pernisco, Basile Peyrade, Simon Nicolas, Maxime Fourcade) & Guests / Collectif Wolsodonails & Pauline Payen.
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The Opposing Shore
les Abords - vernissage 18 avril
Service culturel de l'UBO à Brest
Deuxième partie.
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WALLS OF SILENCE //
Comissariat Klio Krajewska //
Du 26 janvier au 11 février 2018 //
Vernissage vendredi 26 janvier de 18h-22h //
Preview presse - 17h30 //
Concert visuel de Arai Tatsuru - 20h //
Heba Amin, Dæd Baitz, Disnovation.org, Bertrand Planes, Dani Ploeger, Systaime (Michaël Borras), Vincent Voillat, Zenial (?ukasz Sza?ankiewicz) //
La bande son symbolique de l'exposition, le morceau de John Maus Walls of Silence de l'album Screen Memories répète à l'infini ces quelques mots. L'exposition explore les frontières, les murs, les plafonds de verre et les barrières invisibles qu'ils soient symboliques ou physiques, virtuels, culturels ou réels.
Il ne s'agit pas nécessairement ici de les dépasser, mais est plutôt question de les mettre en lumière et de proposer des interrogations.
L'exposition explore quelques échantillons de ces limites et les passe sous microscope, en se focalisant sur les walls of silence (murs du silence) des deux thèmes intrinsèquement liés : politique et technologie.
Sur un plan plus général, l'installation de Bertrand Planes est une métaphore de ces limites. Ici, un élément perturbateur, presque invisible, est à la fois celui qui change et modifie le fonctionnement d'un système ou d'une machine, le rend inutile, ou au contraire apporte un élément déterminant sur sa lecture ou son usage.
Le film de Heba Amin se focalise sur une barrière technologique, une coupure internet, en tant qu'instrument politique, invisible mais bel et bien tangible. Disnovation.org (Nicolas Maigret et Maria Roszkowska), mettent en lumière les limitations et restrictions du web et révèlent un modèle culturel, social et idéologique de la société à travers ce qui ne devrait pas être vu.
Pour Zenial, qui explore le concept de frontière sonore, les barrières technologiques sont celles qui empêchent l'utilisateur d'une machine, en l'occurrence un ordinateur, une navigation libre, non tracée et affranchi de toute exploitation commerciale.
Dans le travail du groupe Daed Baitz, on observe un autre aspect de plafond de verre, celui d'une impuissance ou négligence qui conduit à un enchainement de causes à effets où les systèmes et procédures deviennent entièrement obsolètes.
La série de vidéos de Systaime (Michaël Borras) sont des détournements humoristiques ne faisant apparaitre des discours politiques, que les zones de silences et entres deux.
Dans un autre registre, Dani Ploeger nous plonge dans une scène de guerre decontextualisée, en réalité virtuelle et Vincent Voillat explore la forme particulière des barricades de béton infranchissables qui ont été placées après la révolution égyptienne devant les bâtiments officiels du Caire.
L'exposition composée d'objets, de vidéos, de réalité virtuelle, d'installations, et d'une création sonore, ont été pour une bonne partie, crées spécialement pour l'exposition Walls of Silence.
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L'Institut d’Esthétique
En résidence au Palais de Tokyo.
La Manutention. D’octobre à juillet, six artistes émergents sont invités en résidence, pour une période d’un mois chacun. Chaque résident développe un projet de performance inédit et imagine un rendez-vous hebdomadaire autour de son univers, en conviant notamment d’autres artistes à intervenir et penser de nouveaux formats.
Commissariat : Vittoria Matarrese
Du 16 novembre au 15 décembre, La Manutention accueille Institut d’esthétique, un collectif composé des artistes Emile Degorce-Dumas et Vincent Voillat et de la productrice Haily Grenet. Ensemble, ses membres posent des questions d’esthétique dans un institut d’esthétique. Dans un contexte où les relations humaines sont moins vécues directement que par l’entremise de leurs représentations, l’Institut d’esthétique interroge la possibilité de créer des rapports directs au monde. L’Institut d’esthétique a pour objectif de s’occuper de l’autre, de lui permettre de se réconcilier avec son image afin de lui procurer satisfaction et bien-être. Transdisciplinaire, le collectif multiplie les collaborations avec d’autres artistes, musiciens, performeurs, réalisateurs et professionnels de la beauté.
TOUT LE PROGRAMME
Soirée 1 / Soirée 2 / Soirée 3 / Soiré 4
VIDEOS
Benjamin Blaquart, Hannah Levy, Rafaela Lopez, Rachel McLean, Institut d’esthétique
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ENVIRONNEMENT
Martine Aballéa, Aida Bruyere, Art & Language, Brice Chatenoud, Arielle de Pinto, Emile Degorce Dumas & Patricia Badin, Marcel Devillers, Mimosa Echard, Mathias Garcia, Hélène Garcia, Alice Guittard, Nobuko Murakami, Athena Papadopoulos, Jérémie Paul, Caroline Rennequin, Ry Rocklen, Vincent Voillat, Julie Villard & Simon Brossard, Yarisal & Kublizt
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Avec le soutien de MAC Cosmetics France et StoneLeaf
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Galeristes 2017
Galeristes, le salon des galeries et des collectionneurs engagés
Les 9 & 10 décembre au Le Carreau du Temple à Paris
(avant-première sur invitation le 7 décembre)
Tarifs et informations sur www.galeristes.fr #galeristes
Galeristes est une communauté rassemblant des collectionneurs, passionnés et professionnels de l’art, unis dans un même objectif : la (re)découverte des galeristes, comme passeurs avérés, lors de rencontres conviviales autour de l’art et de leurs univers singuliers.
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La Petite Collection | Edition 3
Galerie Bertrand Grimont
42-44 rue de Montmorency, 75003 Paris
Vernissage jeudi 7 décembre de 14:00 à 21:00
Le projet de la Petite Collection a été initié par l’artiste Florence Lucas. En 2014 a été lancée la première édition, Quatre vingt dix artistes ont répondu présents et chaque année environ le même nombre d’artistes participent à la nouvelle édition.
Le projet consiste à confier aux artistes des cartes postales vierges sur lesquelles ils font une œuvre originale. Les cartes sont regroupées, exposées et mises en vente à un prix unique. Chaque carte vendue fait l’objet d’une édition à cent exemplaires qui reviennent à l’artiste .
Notre époque est férue de gigantisme. Contrairement à cette tendance au monumental, la carte postale réinvestit le domaine de l’intime et inviter des artistes à travailler sur de petits formats devient un challenge et questionne sur les pratiques de l’art contemporain.
La Petite Collection fait appel à des pratiques traditionnelles comme le dessin, la peinture ou l’aquarelle. Les œuvres étant destinées à être reproduites pour l’édition de cartes postales , ce que l’œuvre va perdre en authenticité, elle le gagnera en visibilité.
La troisième édition de la Petite Collection s'annonce magnifique. A découvrir à la galerie Bertrand Grimont à partir du 7 décembre 2017. On vous attend nombreux
Petite promenade sur le site www.espace-CO2.com à la page Petite Collection, troisième édition.
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7, Avenue Franklin Roosevelt 75008 Paris
Exposition-vente du mercredi 13 au samedi 16 décembre de 11h à 19h.
VERNISSAGE : le mardi 12 décembre de 18h à 22h.
Téléchargez votre invitation pour le vernissage :
http://bit.ly/2A8esjj
Home Sweet Home
Art is Hope est une exposition-vente d’art contemporain organisée par René-Julien Praz.
Plus qu’un domicile, un chez-soi est un lieu intime pour vivre avec ses proches, ses objets familiers : foyer, asile contre le monde extérieur et ses dangers qui répond à un besoin humain fondamental de protection.
De nombreux artistes, galeries ou collectionneurs privés, français et internationaux, se joignent à LINK pour Art is Hope et font dons d’oeuvres (peintures, dessins, photos, structures…) pour cette exposition-vente.
Cette année Art is Hope s’est installée au 7 avenue Franklin Roosevelt Paris 8éme.
Info & réservation des oeuvres: laurent@fondslink.org
Consultez le catalogue : ici
Les bénéfices de cette exposition-vente, sont reversés à l’association AIDES pour financer ses différents programmes de dépistage.
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Les secrets du Docteur F. (christmas party #3)
under construction gallery
6 passage des Gravilliers
75003 Paris 03
du 30 novembre 2017 au 13 janvier 2018
Vernissage le samedi 25 novembre de 18h à 21h
From November 30, 2017 to January 13 2018
Opening on Saturday 25th of November from 6 to 9 pm
exposition collective avec / group exhibition with
David Ancelin, Martin Bachelier, Micky Backham, Yasmina Benabderrahmane, Florian Bézu, Emmanuelle Bouyer, Aliénor Dauchez, Romain Dumesnil, François Durif, Alice Guittard, Karine Hoffman, Kapwani Kiwanga, Yann Lacroix, Leaustic Fabien, Vincent Lemaire , Zora Mann, Rachel Marks, Côme Di Meglio, Renaud Perriches, Guillaume Pinard, Louis Rollinde, Jeanne Susplugas, Maxime Touratier, Vincent Voillat.
with the collaboration of :
-Great Design Gallery
-Macumba Night Club Editions
-We Do Not Work Alone
cura. Théo-Mario Coppola
Référence culturelle européenne incontournable, l’histoire du docteur Faust est au départ un conte populaire réinterprété par Marlowe et Goethe à la suite desquels de nombreux compositeurs et écrivains ont à leur tour donné leur interprétation du mythe*.
Les secrets du Docteur F. se présente comme un grand cabinet de curiosités où les œuvres composent un nouveau chapitre de cette longue histoire de l’occultisme en art. Cette exposition collective propose une exploration des mondes de l’occulte (l’ensemble des arts et sciences occultes comme l’alchimie, l’astrologie, la magie, la divination ou la médecine occulte) et de l’ésotérisme (l’initiation et le secret) à travers des œuvres mêlant l’imagerie de la magie et des rituels à une réinterprétation contemporaine.
Ce ré-enchantement du monde participe d’un vaste mouvement rejetant le sarcasme et le scepticisme au profit d’une sensibilité ouverte sur d’autres modes de connaissance et d’interprétation du réel. L’exposition propose aux artistes de livrer leur propre vision d’une lecture occulte du réel, en écho avec leur pratique personnelle, en réaction à un évènement, ou en mobilisant des rites préexistants. Cette exposition est également l’occasion d’un tour du monde des pratiques occultes, chaque œuvre étant reliée à un contexte culturel singulier.
* Hector Berlioz, Robert Schumann, Richard Wagner, Franz Liszt, Charles Gounot, Henri Pousseur en musique et Alexandre Pouchkine, Heinrich Heine, Ivan Tourgueniev, Oscar Wilde, Pierre Mac Orlan, Thomas Mann, Jean Giono ou Fernando Pessoa en littérature se sont à leur tour intéressé à l’histoire du Docteur F.
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Image:
Médium (2016), Karine Hoffman, 32 X 24 cm, oil on paper
Courtesy of the artist
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La bibliothèque idéale de Vincent Voillat, artiste plasticien De Arnaud Idelon
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Galerie Eric Mouchet
45 rue Jacob, 75006 Paris
du 9 septembre — 7 octobre 2017
VERNISSAGE samedi 9 septembre à 16:00 - 21:00
Une exposition collective regroupant les artistes Cyril Aboucaya, Justine Bougerol, Flavie L.T, Melanie Villemot et Vincent Voillat, réunis sous l’impulsion de Romain Semeteys ( fondateur de la plateforme Lechassis et directeur de l’espace d’art Arondit ).
En invoquant différents mythes, interactions codifiées et pratiques sociales, l’exposition "Va-et-Vient" rapproche des artistes aux interventions nourries de références symboliques : réalisation de sculptures influencées de formes funéraires ( Cyril Aboucaya ), transformation in-situ de l’espace ( Justine Bougerol ), détournement de formes archétypales et ancestrales ( Flavie L.T ), recherches sur le spirituel et ses formes de prélèvements ( Vincent Voillat ), voyage mystique par la métamorphose du corps ( Mélanie Villemot ).
Pendant le vernissage la "nail artist" Sylvie Vacca interviendra pour une performance orchestrée par Mélanie Villemot
Exposition Va et vient, galerie Eric Mouchet, commissariat Romain Semeteys. Crédit photo: Robin lopvet.
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CCI Fabrika,
18 Perevedenovskiy pereulok – 105082 Moscou Russie
du 23 septembre — 20 octobre 2017 de mardi à dimanche de 12h00 à 20h00
VERNISSAGE samedi 22 septembre
Artists: Clément Cogitore, Bady Dalloul, Rémi Duprat, Jonas Fischer, Aslan Gaisumov, Nikita Kadan, Ioanna Neofytou, Chantal Peñalosa, John Smith, Diana Tamane, Marie Voignier, Vincent Voillat
Curators: Kyveli Mavrokordopoulou & Sasha Pevak
Project assistant: Alla Zolotova
L’exposition « The Opposing Shore » sera inaugurée au CCI Fabrika le 22 septembre 2017, dans le cadre de la 7e Biennale d'art contemporain de Moscou. Elle présentera les travaux de douze artistes contemporains – de la vidéo, de la photographie, de la sculpture et de l’installation –, qui tous partagent un intérêt pour de nouvelles formes physiques et symboliques des frontières. Au lieu de célébrer joyeusement « un monde sans frontières », l’exposition « The Opposing Shore » cherche à comprendre leur nature ambiguë en mettant en lumière les qualités physiques, esthétiques et politiques des frontières.[...]
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GALERIE DIX9 Hélène Lacharmoise
19, rue des Filles du Calvaire 75003 Paris - M° Filles du Calvaire
du mardi au vendredi de 14h à 19h, le samedi de 11h à 19h et sur RDV
Tél : 33(0)1 42 78 91 77
Du 8 au 23 septembre 2017
en partenariat avec le festival Jerk Off
Vernissage le 7 septembre
et
Vernissage le 14 septembre 2017 à partir de 18h
Visite en présence de l’artiste le 16/09 à 16h et le 17/09 à 15h
De ses origines de «presque bûcheron» et de ses ballades dans les paysages de son enfance, Vincent Voillat garde un goût de la découverte, mais aussi un rapport très tactile à la matière.
Grand collecteur de pierres et minéraux, il crée des associations très simples, sorte d’aberrations géologiques mais toutes empreintes de spiritualité.
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POINT CONTEMPORAIN Vincent Voillat, Le Ravin du peu, Galerie Dix9 Hélène Lacharmoise Paris [EN DIRECT DE L’EXPOSITION]
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Les Visiteurs du Soir à L'Hôtel Windsor Nice
Venez découvrir les 2 et 3 juin un parcours d'art video et d'installations, et une exposition à l'Hôtel Windsor.
N'hésitez pas à venir les découvrir! On vous attend!
A cette occasion, seront installées dans l'hôtel les vidéos de Adrian Balseca (Equateur), Emilie Brout & Maxime Marion (France), Monica Gallab (Belgique), Vincent Voillat (France) et Okin Collective (Corée du Sud) pour la première fois à Nice.
Pour ce parcours les artistes questionnent la singularité d’un récit et sa narration en reprenant diverses techniques d’illusions ainsi les codes de création d’une fiction, propres à l’image en mouvement, pour délivrer un message.
Les images de Mar Cerrado, proposées par par Adrian Balseca, sont empreintes d’esthétisme et de mystère, pour évoquer une catastrophe écologique. Le logiciel mis en place par Emilie Brout et Maxime Marion pour Dérives, joue indéfiniment avec des courts extraits cinématographiques qui mettent en scène l’eau, permettant ainsi de créer un nouveau film à chaque visionnage. Nice Day for a Picnic de Monica Gallab montre avec inquiétude le rituel quotidien, le cycle absurde ; ce moment où chaque suivant suit son précédent, toujours... indéfiniment… Vincent Voillat dans Lands of feels nous montre des flux croisés de Tokyo (Japon) et Nanning (Chine) interrompus par une séance de karaoké onirique et tellurique. Quant à Operation for Something Black and Hot, les artistes d’Okin Collective font la démonstration d'un enchaînement de mouvements physiques pour aider les personnes à se relaxer en cas de terrible catastrophe naturelle ou humaine.
Venez voir ou revoir l'exposition collective Show me the way... qui explore la relation existante entre l'hôtel et la musique, à travers la chambre d'hôtel, le motel ou même le bar. En parallèle, certains artistes ont réalisé des installations éphémères dans le jardin.
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L’INSTITUT D’ESTHÉTIQUE
Proposition d’Émile Degorce-Dumas & Haily Grenet
Vernissage 17 Février à 19H
à Glassbox, 4 rue Moret Paris 11
Du 17 février au 05 mars, venez découvrir nos soins exclusifs!
Artistes invités : Émile Degorce-Dumas & Haily Grenet – Hélène Garcia – Matthias Garcia – Arielle Kiffer – Elsa Philippe – Ayurvedick Rivers – Louise Ronke-Senges – Jeanne Riot – Mika Rottenberg – Vincent Voillat
Prendre RDV pour nos soins performances au 07 54 58 52 85 ou par email à linstitutdesthetique@gmail.com
Dans un contexte sociétal où les relations inter-humaines sont moins vécues directement que par l’entremise de leurs représentations, la question est de savoir s’il est possible pour l’art aujourd’hui de créer des rapports directs au monde, alors qu’il est issu d’un domaine historiquement dévolu à leurs représentations.
Héritier dans nos pratiques professionnelles en tant qu’artistes et commissaire d’exposition, d’une démarche interactionniste, nous avons voulu ouvrir un institut d’esthétique relationnelle. Il a pour but de s’occuper de l’autre et de lui permettre de se retrouver, se réconcilier avec son image afin de lui montrer que cela peut lui apporter du plaisir, de la satisfaction et un bien-être. Pour nous, à l’institut, le corps est un incroyable outil de communication et de socialisation, qu’il soit dit « normal » ou marqué par un quelconque stigmate.
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Panoptisme - Antoine Bougeard
5 - 19 February 2017
Depo
Lüleci Hendek Caddesi No:12, 34433 Tophane, Istanbul, Turkey
Collaboration with, Anne Berelowitch (theater director) and Vincent Voillat (artist), U?ur Çerkezo?lu (composer), Selin Alt?parmak (actress) and Arnault Damien (sound technician).
Voices of: Ömer, Ludo, Önder, Bernardo, Eyüphan, Jean and Jocelyn
What is Panoptisme? It is a way of looking at imprisoned people and surveillance in which we swap the standard roles. In a series of sound tableaus, former prisoners from Turkey and France share their perspectives on prison and the physical and sensory experience of detention. The aim of the project is not to deal with the reason of incarceration but to treat the global problems of prison, incarceration and being confined for many years. Through radio broadcasting and in the form of a sound installation, this project aims to recreate an original and reflexive spatial impression of the prison world, as expressed by those who cannot get out of it.
Imagined and directed by Antoine Bougeard, Panoptisme is the result of a three year’s labour in prison, advocacy and activism, first in Turkey, then in France. St Anne (Avignon) and Bayrampa?a (?stanbul) prisons were closed in 2002 and 2008, respectively. The narration goes back and forth between Turkey and France to compare the memories of those incarcerated in these two prisons: a sonic exploration and immersion of their voices allows us to dive into the penitentiary space. Place, voice and memory are compared and discovered by the visitors as they walk in the room and the installation.
MU Collective: Production and artistic development
Supported by:
Ministry of Culture and Communication (DICRéAM),
La Fondation de France (Bourse déclics jeunes),
Aç?k Radyo
FSDIE Paris 8,
Crous Créteil,
Institut Français d’Istanbul,
Radio Campus
Euphonia
Ceza ?nfaz Sisteminde Sivil Toplum Derne?i (C?SST)
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La deuxième édition du festival d’art vidéo se tiendra du 29 novembre au 4 décembre 2016 à Nice.
L’événement, parrainé par Pascal Neveux, rassemble plus d’une centaine d’artistes.
Il propose pendant 6 jours de partir à la découverte de vidéos d’art : à travers une déambulation inédite entre les chambres de l’hôtel Windsor, du Grand Hôtel Le Florence et dans une trentaine de lieux d’art publics, privés et d’espaces atypiques de la ville. En preview, la biennale MOVIMENTA 2017 propose les 1er et 2 décembre en ville, un forum d’experts en synergie avec OVNi et plusieurs installations des plus grands noms de l’Art Vidéo.
L’Hôtel Windsor repense l’hospitalité artistique, pour accueillir des musées prestigieux de Séoul à Hobart, en mettant l’Argentine à l’honneur, sans oublier de belles institutions régionales et nationales. Marseille est hébergée à Nice par le Grand hôtel Le Florence et propose une dizaine de programmations
OVNi offre la possibilité de découvrir un medium encore méconnu dans l’intimité d’une chambre d’hôtel. Il permet aussi de poursuivre cette expérience dans la ville, à travers deux parcours pour redécouvrir les œuvres vidéo d’artistes contemporains confirmés de la scène internationale, au côté d’une génération d’artistes plus jeunes, qui assure d’ores et déjà la relève. Avec « Chambre en ville » certains lieux joueront avec le concept de la chambre comme espace de diffusion ou de production, d’autres encore opteront pour la carte blanche du parcours « Satellites ».
OVNi est un projet collaboratif, où chaque invité apporte sa pierre à l’édifice. Son format ludique incite les festivaliers à visiter les musées de la ville pour l’occasion, à découvrir des lieux d’art ou des espaces insolites, s’adressant aussi bien au grand public qu’aux initiés.
Le partenariat public – privé unique proposé par OVNi fédère l’univers hôtelier niçois et les acteurs du monde de l’art contemporain, dans une dynamique festive et positive.
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Autofictions
under construction gallery
6 passage des Gravilliers
75003 Paris 03
Du 03 au 24 septembre 2016
avec Mireille Blanc, Rebekka Deubner, Louis Gary, Louis Granet, Frédéric Léglise, Rachel Marks, Lise Stoufflet, Timothée Talard et Vincent Voilat
sous le commissariat de Point Contemporain
"Je n'ai jamais parlé d'autre chose que de moi. Comme c'était de l'intérieur, on ne s'en est guère aperçu. "
Alain Robbe-Grillet dans Le Miroir qui revient - 1984
Les Éditions de Minuit - Paris.
Dans le champ situé entre l’oeuvre et le spectateur, le « devant de l’œuvre » pour reprendre les termes de Soulages, se met en place une relation sensible, faite d'émotions et de sensations partagées. L'exposition Autofictions raconte cette rencontre entre le spectateur et la part intime de l'artiste.
Une rencontre qui passe par la mise en place d'une fiction au caractère autobiographique, une « autofiction » selon le terme de Serge Doubrovsky.
L’œuvre nous raconte, à chaque étape de son élaboration, même si elle nous paraît distanciée de la vie de son auteur, l’histoire de son créateur, que ce soit par ses thématiques, son vocabulaire formel, ou le développement de sa technique.
À travers son oeuvre, l’artiste attire, par de multiples stratagèmes et artifices, le spectateur dans sa propre existence. Il crée un espace ouvert, propre à accueillir un visiteur pour partager une histoire et dans laquelle celui-ci peut également se reconnaître.
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{ heiwata { Événement 0
Cité internationale des arts de Montmartre, Pavillon des Italiens
24 rue Norvins 75018 Paris
Vendredi 1er juillet 2016 de 19h à 23h
Samedi 2 juillet de 15h à 19h
Tropism, noun
1897 biology.
- Involuntary reaction indicating growth of a biological organism or certain animals, in response to environmental, physical, or chemical stimulus. Movement.
- Inherent tendency of a vegetal organism to develop its growth in the direction of an external source of stimulation. Inclination.
- A force that drives an action done without cognitive thought. An innate tendency, a natural inclination, or a propensity to act in a certain manner. Tension. (Invincible tropism).
{ Alice Allenet, Noémie Bablet, Safouane Ben Slama, Cécile Bouffard, Julie Buffard-Moret and Raphaël Emine, Pablo Campos, Eve Chabanon, Gaëlle Choisne, Martin Chramosta, Matthieu Cossé, Julien Creuzet, Emile Degorce-Dumas and Hélène Garcia, Léo Dorfner, Juliette Dumas, Josquin Gouilly Frossard, Haje (Tom Lemann & Quentin Danos), Tarik Kiswanson, Paul Lahana, Éliane Lorthiois and Edison Knight, Guillaume Maraud, Enzo Mianes, Laura Not, Réjean Peytavin, Pablo Réol, Dimitri Robert Rimsky, Emmanuelle Charneau, Louise Siffert, Julie Vacher, Lara Vallance, Mona Varichon, Allan Villavicencio, Vincent Voillat, Noémie Vulpian, Cyril Zarcone {
heiwata { is an agency which conceives, produces, broadcasts and supports projects within the field of contemporary art.
As an adjustable and mobile curatorial organization, heiwata { explores new processes of connection without one fixed location. It consists in the pooling of its creators and its correspondents’ visions, following their respective paths.
Depending on the contexts, heiwata { includes:
. Artistic prospection shared on an editorial platform
. Respective and common curatorial projects of its members
. Skill-sharing involved in the development of projects for institutions and artists
{ heiwata { was founded in 2016 by Elsa Delage (Toronto), Alma Saladin (New York) and Aurélie Vandewynckele (Mexico City) as well as Louise Eliade (Paris), editorial correspondent.
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SALON DU SALON #9 — 9ème édition - exposition collective
SALON DU SALON
21 avenue du Prado
13006 MARSEILLE
www.salondusalon.com
www.editionsdusalon.com
Ouverture : 1er - 8 mai 13h
Nocturne : 12 mai 2016
Sur rendez-vous : 1er mai - 30 juin 2016
+33(0)6 50 00 34 51 - edition@salondusalon.com
Lecture de Nicolas Tardy dimanche 1er mai 16h
Lecture de Pierre Escot dimanche 8 mai 14h
Avec : Nicolas Desplats, Pierre Escot, Claude Horstmann, Stéphane Le Mercier*, Margot Montigny, Luca Resta, Nicolas Tardy, Mükerrem Tuncay, Claude Rutault**, Vincent Voillat.
*Small Large Médium : "La Bibliothèque"
**œuvre issue de l'exposition "Le musée caché", commissariat Nicolas Giraud / 3ème Plateau du FRAC PACA
SALON DU SALON est une proposition curatoriale de Philippe Munda*
*assisté de Garance Rousseau - Étudiante en Master 2 Pro Edition d’art Livre d’ Artiste à l’Université Jean Monnet de Saint-Etienne
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http://pointcontemporain.com/vincent-voillat-la-collection
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